dimanche 27 juin 2010

Index

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1) Bravo et merci au comité de soutien pour la défense d'Azzaro
2) L'acharnement du SCAV a tué mon chien Bobbi
3) Quelques mensonges du gardien de la fourrière B.Pittet et de la police
4) Les morsures sont un problème bien plus complexe qu'il n'y paraisse
5) Témoignages des personnes proches qui connaissaient bien Bobbi
6) Film de l'observation de Bobbi par le Dr. Muser Leyvraz
7) Opposition des poursuites
7) Echange de courriers avec le Vétérinaire cantonal Dr Gregoire Seitert
8) Echange de courriers avec le Conseiller d’Etat Dr Pierre-François Unger
9) Dix policiers pour séquestrer un caniche !
10) Aramis euthanasié en décembre 2009 après 6 mois de fourrière !
11) Photos et Vidéos de Bobbi
12) Bobbi méconnaissable, amaigri au bout d'une semaine à la fourrière

Commission cantonale consultative pour la protection des animaux (CCCPA)
http://www.cccpa.ch/


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mardi 1 septembre 2009

1) Bravo et merci au comité de soutien pour la défense d'Azzaro

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Je regrette de ne pas avoir eu la chance de vous connaître avant pour sauver mon chien!

http://sos-azzaro-sos.spaces.live.com/
http://forum.lemondeenchantier.com/viewtopic.php?f=61&t=286


Je viens de vivre une histoire semblable à Genève avec mon chien Bobbi, également pour des simples pincements et dans des circonstances bien particulières.

Rappelons pour mémoire que suite à deux événements dramatiques survenus avec des chiens, la presse a mis en exergue ces faits et poussé les autorités à proposer au peuple une loi draconienne : muselière pour toutes les races dans les parcs
publics… (loi qui n’a jamais été appliquée vu son absurdité !)

J’ai subi les conséquences de cette psychose collective. En effet, suite à des incidents anodins, mon chien a été enfermé sept mois à la fourrière, puis euthanasié !

Je faisais confiance en mon avocat et en la justice mais j’ai vite déchanté. Je vous conte mon histoire en vous faisant part de l'acharnement que le SCAV a eu à mon égard pour en finalité tuer mon chien Bobbi !!!

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2) L'acharnement du SCAV a finalement tué mon chien Bobbi !!

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Je m’adresse à vous en tant que victime du service vétérinaire genevois le SCAV, avec à la direction le nouveau vétérinaire cantonal Grégoire Seitert. Je suis encore sous le choc après avoir subi tant de mauvaise foi, d’acharnement, de manque d'humanité et de présentations aussi déformées des faits.

J’ai vainement tout tenté pour évité que mon chien Bobbi soit euthanasié. C’est pourtant le sort que lui avait réservé le SCAV au mois de décembre 2007. Une décision qui fût ensuite confirmée par le Tribunal administratif à l’issue d’une procédure que j’estime douteuse et entachée d’irrégularités.

J’ai adopté Bobbi, un Golden retriever. Il avait trois mois et vivait dans une ferme. C’était un chiot attachant, joueur et intelligent. Dès son adoption, j’ai participé aux cours pour les chiots.
Vers l’âge de six mois, mon chien de comportement vif, pouvait réagir face à des situations inconnues, comme des trottinettes, des planches à roulettes etc.



Afin de palier à ses réactions, j’ai contacté une comportementaliste et pris sur son conseil, quelques cours d’éducation au «klicker» qui eurent rapidement des effets positifs dans son attitude.

Il a malheureusement, de manière bénigne, « pincé » à trois reprises des personnes dans des circonstances de jeux ou de défense. Aucune de ces personnes n’a porté plainte. La dénonciation s’est faite par une éducatrice canine et par le médecin, suite à la consultation préventive pour un rappel de tétanos. Il faut savoir que tous les médecins doivent annoncer au SCAV chaque incident lié à un chien.

En bref, le tout nouveau vétérinaire cantonal Dr Grégoire SEITERT http://www.ge.ch/conseil_etat/2005-2009/ppresse/20070516.asp#17 du SCAV de Genève, dont le passé professionnel aux abattoirs l’a semble t’il fortement influencé, a ordonné hâtivement le séquestre et l’euthanasie de mon chien sur l’impulsion d’une éducatrice zélée, qui n’est autre que Sylvie MENETREY http://www.societe-canine.ch/spip.php?article25 de la SOCIÉTÉ CANINE GENEVOISE. Celle-ci n'avait été témoin que de très loin du dernier incident. Personne ne lui avait demandé quoi que ce soit ! Néanmoins, elle prit plaisir à produire une « annonce » faite de propos partiels et déformés. Ils étaient en contradiction avec le témoignage de la victime. De plus, donnant un avis sur mon chien qu’elle ne connaissait pas, avis qui était à l’opposition de l’analyse minutieuse du Dr.méd.vét A.Leyvraz Muser comportementaliste.

Toutefois, lors d’une entrevue avec le Dr Grégoire SEITERT, j’ai rapidement compris que celui-ci ne connaissait pas le dossier.

Je veux surtout vous faire part de mon indignation devant les procédés utilisés par un collaborateur du SCAV pour me piéger et trouver des témoins à charge.

Le gardien de la fourrière Bernard PITTET m’attendait depuis l’aube pour me surprendre dans la montée d'escalier de mon immeuble. N’ayant pas immédiatement enfilé la muselière, au port de laquelle mon chien venait d’être condamné, mais un «halti» système de contrôle qui, si le chien tire, lui ferme la «gueule» et l’empêche de tourner la tête. En plus Bernard PITTET a fait appel à deux policiers, Jérôme CLEMENT et Olivier GRAU, qui sont arrivés au loin de manière bruyante. J'ai compris ensuite que, le but était de faire aboyer mon chien. Ils ont ensuite témoigné contre moi en parlant de l’agressivité de mon chien et en relatent un "scénario" mensongé.

Bernard PITTET a même cherché à soutirer un témoignage auprès de M. Matarazzo en le poursuivant à la Migros, mais il s’y est refusé.

L’éducatrice canine Séverine BOGARD http://www.oschool.ch/index2.html d’OSCHOOL, avec laquelle j’ai suivi les cours de « kliquer ». Et par la suite trois mois de cours en groupe durant lesquels je n’ai reçu aucune consigne, ni exercice à faire durant la semaine. Elle aussi se sentait obligée de me dénoncer lorsque je lui ai fait part que mon chien avait pincé quelqu'un, en donnant des informations inexacts et éxageré.

Manifestement tous ces gens sont liés d’une manière ou d’une autre au Service vétérinaire et se sentent obligés de s’aligner avec zèle sur sa nouvelle politique !

Grégoire SEITERT n’ayant qu’une connaissance erronée du dossier et sans examiner les données a cependant, afin de justifier sa position pour le Tribunal administratif, pas hésité à « monter » un rapport aggravant et complètement tendancieux. Il comportait de nombreuses affirmations exagérées, diffamatoires voire mensongères.

C’est d’ailleurs sur l’un de ces mensonges que reposait la décision de non restitution de mon chien Bobbi du Tribunal administratif.http://www.elistyle.com/~bobbi/TA_mens.pdf
J’ai finalement découvert, avec consternation, que le jugement était un simple « copier - coller » des affirmations non vérifiées du SCAV.
La « réplique » de mon avocat n’avait même pas été prise en compte, ni même la QUINZAINE de témoignages (voir point 5) Témoignages), dont trois vétérinaires qui réfutaient les affirmations du SCAV. Il a surtout ignoré le témoignage du Dr. méd. vét A.MUSER LEYVRAZ comportementaliste, qui avait contesté les affirmations qu’on lui prêtait dans un courrier au Tribunal administratif. http://www.elistyle.com/~bobbi/temoignage_Dr_Muser_Leyvraz.pdf

J’ai bien entendu fait recours au Tribunal fédéral contre la décision du juge qui était totalement arbitraire. Mais mon recours fut malheureusement débouté pour cause de délais.

A peine la décision rendue par le Tribunal fédéral, le directeur du SCAV s’est empressé « d’euthanasier » mon chien, sans même attendre ma décision de faire appel contre l'arrêt du Tribunal!

Je suis encore sous le choc que le SCAV ait pu agir de la sorte et faire preuve d’un tel acharnement dans le seul but de mettre à mort mon chien Bobbi, un fidèle compagnon qui me faisait confiance, un membre de la famille à part entière que je chérissais particulièrement. Il était très affectueux et joueur, avait une bonne éducation, il prenait plaisir à obéir. Je suis encore dans la souffrance et hantée au quotidien par son absence et surtout d’avoir subi tant d’injustices et de mauvaise foi.

Ce qui est le plus difficile à supporter c’est de savoir que pendant toute la procédure, mon chien était à la fourrière. Sept mois d’attente avant de finir à la guillotine ! Sans que personne et d’autres chiens puissent jouer avec lui.

Je suis révoltée au plus haut point ! Au SCAV c’est l’opacité totale! Les propriétaires de chiens n’ont pas le droit de voir leur compagnon. Ils sont sans nouvelle de leur chien et bien sûr, ils vous racontent ce qu’ils veulent... Il n’y a aucune garantie sur la manière dont ils sont traités. J’ai surtout quelques doutes quant au gardien de la fourrière Bernard PITTET, c’est d’ailleurs lui qui m’a ramassé mon chien.

J’ajoute que, comme si cela n’était pas suffisant de tuer mon chien, maintenant ils me réclament en plus, des milliers de francs pour les frais de fourrière !

Face à ce drame, en guise de conclusion, j’accuse certains acteurs qui ont participé à la mis à mort de mon chien :

- M Bernard PITTET, gardien de la fourrière, a tenté de soutirer un témoignage à un passant, qui s’y était refusé et a produit lui-même un témoignage mensongé, allant jusqu’à inciter deux policiers, Jérôme CLEMENT et Olivier GRAU, à écrire un témoignage de complaisance.

- Mme Séverine BOGARD, proche de Mme Chantal CHOLLET du SCAV, relate des informations inexacts et étonanntes, car une thérapie comportementale et des cours d'éducation n'ont jamais été ordonnés par l'OVC !!! etc...
http://www.elistyle.com/~bobbi/e-mail_Bogard-a-Chollet.pdf
http://www.elistyle.com/~bobbi/Sevrine_Bogard.pdf


- Mme Sylvie MENETREY de s'être immiscée dans l'affaire qui ne la regardait pas, et, qui plus est, s'est permise de répandre des faits inexacts à divers professionnels de la gente canine, notamment au SCAV. http://www.elistyle.com/~bobbi/Sylvie_Menetrey.pdf
http://www.societe-canine.ch/IMG/png/moniteur-sylvie-menetrey01-2.png

- Mme Chantal BOISSET en donnant un témoignage délateur, que je qualifie de tendancieux, exagéré et contenant d’abondantes fausses affirmations.
http://www.elistyle.com/~bobbi/Chantal_Boisset.pdf
http://www.ge.ch/elections/20081019/img/cnd/BOISSET_Chantal.jpg

Il est important qu’aujourd’hui un large public soit informé sur l’application abusive et excessive du SCAV et de la loi votée sur les chiens.

Par ces lignes, j’invite toute personne ayant été victime du SCAV et de leurs collaborateurs à témoigner.


N'HESITEZ PAS A LAISSER UN MESSAGE EN CLIQUANT CI-DESSOUS SUR "COMMENTAIRE", PUIS SUR "SELECTIONNER PROFIL" ET CLIQUER SUR "NOM/URL" POUR SIGNER VOTRE MESSAGE.

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3) Quelques mensonges du gardien de la fourrière B. Pittet et de la police

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Le lien est le récit détaillé du séquestre de Bobbi par Bernard Pittet :

http://www.elistyle.com/~bobbi/recit_sequestre.pdf

Le lien suivent est le témoignage mensonger de Bernard PITTET:

http://www.elistyle.com/~bobbi/sequestre_Bobby.pdf

Le gardien de la fourrière Bernard PITTET a inventé un scénario complètement mensongé! Jamais Bobbi ne s'est brusquement retourné (même pas retourné du tout!) et ne s'est pas dressé sur ses pattes antérieures.


Ce lien contredit sa version des faits:

http://www.elistyle.com/~bobbi/Michel_Matarazzo.pdf

Et voici le témoignage de complaisance des policiers, Jérôme CLEMENT et Olivier GRAU :

http://www.elistyle.com/~bobbi/annonce_police.pdf

Des voisins, témoins de la scène qui ont pu observer l’arrivée des policiers à la hauteur du n°28 de l’avenue Vibert, n’ont entendu aucun aboiement ni perçu aucune difficulté quelconque et ont vu le chien monter dans la voiture sans aucun problème.

Un mois auparavant, alors que ce même policier, Jérôme CLEMENT, procédait au contrôle de la puce de mon chien, qui était ce jour là sans muselière, n'a été à aucun moment inquiet alors qu'il déplaçait sans cesse son appareil au-dessus de sa tête.



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4) Les morsures sont un problème bien plus complexes qu'il n'y paraîsse.

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"Il est faux de considérer toutes les morsures comme ayant le même degré de dangerosité.

Il faut en effet distinguer deux types de morsures totalement différentes, tant dans leurs causes que dans leur gravité:

Nous avons d'une part une morsure « réactionnelle» ou « sanction », qui est la conséquence d'un comportement inapproprié de l'humain vis-à-vis du chien.
C'est une morsure plus ou moins « inhibée », faisant partie du mode d'expression du chien; c'est le plus souvent une
morsure unique et de moindre gravité (en fonction de la race du chien).

D'autre part, nous avons la morsure «prédatrice» due à un comportement prédateur et
totalement « désinhibé» du chien, sans que la victime ait eu aucune interaction avec l'animal;
c'est souvent une morsure multiple qui peut être d'une extrême gravité."


Les liens suivants décrivent les trois incidents qui démontrent, que dans chaque cas, il y a eu une interaction de l'humain face au chien.


http://www.elistyle.com/~bobbi/incident_28_juin.pdf

http://www.elistyle.com/~bobbi/incident_8_octobre.pdf

http://www.elistyle.com/~bobbi/incident_3_nov.pdf


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5) Témoignages des personnes proches qui connaissaient bien Bobbi

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Il s'agit de lettres écrites par des personnes proches (voisins, amis et vétérinaires) qui connaissaient bien Bobbi.
Ces gens ont été consternés par la tournure des évènements.



http://www.elistyle.com/~bobbi/temoignage_Dr_Murat.pdf

http://www.elistyle.com/~bobbi/temoignage_Dr_Basile.pdf

http://www.elistyle.com/~bobbi/temoignage_Dr_Muser_Leyvraz.pdf

http://www.elistyle.com/~bobbi/T_Mei.pdf

http://www.elistyle.com/~bobbi/T_Vol.pdf



http://www.elistyle.com/~bobbi/J_PLed.pdf

http://www.elistyle.com/~bobbi/St_Deb.pdf

http://www.elistyle.com/~bobbi/M_Kle.pdf

http://www.elistyle.com/~bobbi/I_Jac.pdf

http://www.elistyle.com/~bobbi/petition.pdf



http://www.elistyle.com/~bobbi/A_Sch.pdf





en photo: OLGA NINA BOBBI MAX







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vendredi 26 juin 2009

6) Observation de Bobbi par le Dr. Muser Leyvraz

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Observations directes pendant une promenade à l’extérieur le 28 novembre à 15.30 ; durée environ 75 minutes :

Film fait par le Dr. Muzer Leyvraz pendant cette évaluation.

Bobby était confronté aux situations suivantes :

- 2 garçons d’environ 13-14 ans qui jouaient avec un planche à roulettes à 5 mètres de distance.

- 2 enfants, dont l’un des deux, un garçon d’environ 6 ans, est sorti d’un espace-jeu clôturé en balançant sa serviette d’école

- Une dame avec deux adolescents qui portaient des cornets en plastique.



- Un groupe composé de 5 enfants d’âge (8 à 16 ans) et de sexes différents qui discutaient; l’un des enfants se trouvait sur une trottinette, deux d’entre eux se poursuivaient, l’un des deux courait directement vers Bobbi en balançant sa serviette d’école devant lui.

- Un homme tirant une valise et portant un cornet qui passait très près entre Bobbi et la paroi d’une maison.

- Une poussette.

- Deux chiens attachés à la laisse.



- Une poussette.

- Un homme qui a ouvert la porte d’un espace de jeu.



- Un jogger qui a ralenti quand il a croisé Bobbi et qui ensuite a repris de vitesse



Dans toutes ces situations, Bobbi n’a pas montré de comportements agressifs. La plupart du temps, il marchait sans tirer à la laisse. De temps en temps, Mme Schlegel l’a appelé par son nom et Bobbi a tourné la tête dans sa direction.

Sa posture et la position de sa queue étaient légèrement basses.

Au bord de l’Arve le halti a été remplacé par une laisse extensible de 5m de longueur.

Bobbi était confronté aux situations suivantes :

- Des chiens de taille, sexe et couleur différents : Bobby les reniflait, se laissait renifler, ensuite il continuait à marcher ; il a invité un chien à jouer.



- Des joggers qui arrivaient de devant ou de derrière.

- Des poussettes



- Un homme de couleur sur un banc qui gesticulait.

- Une dame qui portait un grand bouquet de verdure qu’elle bougeait devant Bobbi

- Plusieurs cyclistes venant de différentes directions; un cycliste a roulé dans la direction de Bobbi et a passé très près de lui en faisant un petit détour.



- Des enfants d’âge et de sexe différents qui criaient, qui étaient sur des trottinettes.



- un enfant a tapé un ballon par terre, deux autres se bagarraient



Dans toutes ces situations, Bobbi n’a pas montré de comportements agressifs.

Quand Mme Schlegel appelait Bobbi par son nom, il tournait la tête vers elle et recevait une récompense.

Plusieurs fois, Mme Schlegel disait « stop », et Bobbi s’est arrêté. Il a aussi obéi à la commande « assis ».

Pendant les dernières minutes de la promenade, Mme Schlegel a promené les deux chiens ensemble. Bobbi n’a pas montré des comportements agressifs.


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7) Opposition des poursuites

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Office des poursuites
46, rue du Stand
Case postale 208
1211 Genève 8


Madame, Monsieur,

Par la présente, je vous informe que je souhaite faire opposition au commandement de payer cité en marge pour les motifs suivants:

Dans aucune des décisions du Tribunal administratif et fédéral il était question des frais de fourrière.

Par contre le droit en vigueur relatif aux chiens n’était pas appliqué dans mon dossier.
Articles de loi (LChiens, M 3 45) : (Pièce 8)

1. Lorsqu'un cas de morsure est signalé au service, celui-ci peut, selon la gravité, procéder à une évaluation.
2. Dans les cas bénins, le service peut obliger le détenteur à suivre des cours d'éducation canine.
3. En cas de besoin, le service peut faire appel à un vétérinaire comportementaliste.

Dans le cas de mon chien, les morsures étaient tout à fait bénignes. (pincements)

1. On ne m’a pas accordé le temps de prendre des cours de rééducation.
2. De plus, le vétérinaire cantonal Dr. vét Grégoire Seitert n’a pas tenu compte de l'avis du vétérinaire comportementaliste le Dr. méd. vét Muser Leyvraz.


Le 5 décembre un collaborateur, Bernard Pittet du SCAV, a séquestré mon chien sur des motifs fantaisistes et invoqué un scenario mensonger pour justifier son acte.
Jamais Bobbi ne s'est brusquement retourné (même pas retourné du tout) et il n’était pas dressé sur ses pattes antérieures. (Pièce 3+3a)

De plus, il a cherché à soutiré un témoignage à M Michel Matarazzo.
M Matarazzo ne se jamais senti agressé comme le dit clairement son témoignage écrit. (Pièce 4)

Bernard Pittet a sollicité des policiers comme renfort, ce qui était complètement injustifié.
Il les a aussi incités à faire un témoignage de complaisance. (Pièce 4)

Le 30 octobre, alors que ce même policier Jérôme Clement procédait au contrôle de la puce de mon chien, qui était ce jour là, sans muselière, il n'a été à aucun moment inquiet alors qu'il déplaçait son appareil au-dessus de sa tête.

(Bernard Pittet est d’ailleurs la même personne qui a fait séquestrer le caniche en mobilisant 10 policiers. Ils ont fait une violation à domicile et fait menotter la dame pour l’amener au poste, alors il n’y avait pas de manda d’arrêt. Seul un problème de médaille et puce se posait pour le caniche et ils l’ont découvrait le jour même. L’intervention concernait un autre chien mais ils étaient avertis qu’il n’existait pas. Il y a d’ailleurs plusieurs plaintes pénales qui sont déposé au sujet de cet incident.) (Pièce 4)

Le 12 décembre, le SCAV pour justifier leur décision erronée, se service a monté un dossier avec de multiples erreurs, donc celles précité et les suivents:

1) Au point 7 de leur dossier) « Par correspondance adressée au service le 28 août 2007, M.Yves-Laurent SAGAN réfuta les assertions de la recourante, constatant la pleine responsabilité de cette dernière et précisant que Ie chien avait attendu qu'il descende de son vélo avant de le mordre à quelques centimètres de ses parties génitales. » (Pièce 1).

Il était fait référence à une pièce contenant une pure supposition, sans rapport aucun avec ce qui s’est réellement produit.

M Sagan stipule d’ailleurs dans sa lettre au premier paragraphe, que ce n’est pas sa déclaration, et après le point n° 3, que cela aurait pu arriver.

En plus il y a quatre témoignages qui contredisent cette version (Pièces 2-5)


2) Au point 11) le SCAV affirme « l’incident avec l’enfant nécessitait une intervention médicale », alors que c’est le SCAV qui avait demandé un constat médical, mais l’incident n’avait pas nécessité de soin.

5) Grégoire Seitert a affirmé à l’audience au tribunal, que le SCAV m’avait ordonné des cours d’éducation, alors jamais on m’avait ordonné aucune mesure d’éducation ni réévaluation.

Dans la lettre du Dr Grégoire Seitert, datée du 20 novembre 2007, je constate qu'il n'a probablement pas eu connaissance du dossier (sans doute dû à un problème de communication interne dans son service) ou alors qu'il s'agissait d'une "lettre-piège" pour me faire croire que c’était un deuxième avertissement. Je n'avais jamais eu de contacts avec ce service avant le 7 novembre 2007, date à laquelle les comportementalistes, Mme Chantal Chollet et le Dr. Muser Leyvraz, ont pu constater que je maîtrisais mon chien et qu’il avait une bonne éducation mais qu’il y avait un travail de désensibilisation à faire.
Le contenu de cette lettre ne correspond pas à ce qui avait été convenu avec les comportementalistes le 7 nov. C’était aberrent de demander un rapport alors qu’on venait de faire une expertise en leur présence donc dix jours auparavant.
De plus, j'ai signalé l'incident du 3 novembre 2007 aux deux comportementalistes, contrairement à ce qui est mentionné. (Pièce 7)


3) Les exagérations des écrits du SCAV atteignent un tel degré que le Tribunal a affirmé, que « l’impossibilité de toute mesure éducative a été établie par différents spécialistes de la gente canine, notamment une comportementaliste commise par la recourante. »

Il n’y a aucune éducatrice ni Dr Muser ayant fait de telles affirmations. (Pièce 7)

Le Dr. méd. vét A.MUSER LEYVRAZ a d’ailleurs fait une vidéo commenter avec le rapport détaillé pour le SCAV, à la surprise le la doctoresse le film lui n’était même pas demande.


Le 14 janvier sur des erreurs transmises au Tribunal administratif par le SCAV et en particulier sur la pièce maîtresse du Dr. méd. vét A.MUSER LEYVRAZ, ledit Tribunal avait rejeté la demande. (Pièce 1)

Le 14 janvier, c’est d’ailleurs sur l’un de ces mensonges que reposait la décision du de la non restitution de mon chien Bobbi du Tribunal administratif. http://www.elistyle.com/~bobbi/TA_mens.pdf

Dans la décision du 20 mai j’ai finalement découvert, avec consternation, que le jugement était un simple « copier - coller » des affirmations non vérifiées du SCAV.
La « réplique » de mon avocat n’avait même pas été prise en compte, ni même la QUINZAINE de témoignages, dont trois vétérinaires, qui réfutaient les affirmations du SCAV.
Il a surtout ignoré le témoignage du Dr. méd. vét A.MUSER LEYVRAZ comportementaliste, qui avait contesté les affirmations qu’on lui prêtait dans un courrier au Tribunal administratif. http://www.elistyle.com/~bobbi/temoignage_Dr_Muser_Leyvraz.pdf

J’ai bien entendu fait recours au Tribunal fédéral contre la décision du juge totalement arbitraire. Mais mon recours fut malheureusement débouté pour cause de délais.

Le 3 juin 2009 je demande des explications à Dr Grégoire Seitert au sujet des affirmations erronées dans mon dossier.

Le 13 juillet 2009 le SCAV avait été débouté au sujet de sa requête déposée au Tribunal de première instance concernant cette facture. (Pièce 10)

Décision du 27 juillet 2009, le n’ai pas fait opposition car j’ai constaté à cette date que, depuis des années, tout recours concernant une décision du SCAV est à 99% rejeté.

Le 19 octobre 2009 j’averti M Unger des irrégularités du SCAV

L’acharnement du SCAV de la nouvelle poursuite du 13 avril 2010 relative aux taxes de la fourrière est à mon sens non seulement totalement déplacé, mais d’une arrogance extrême.

Le 27 avril 2010 je donne plus de détailles sur les irrégularités du SCAV.

Je suis effaré du mépris et du dénie de la réponse.

J’espère comme simple citoyenne j’ai le droit être attendu dans sa complexité,

Il y aurait beaucoup d’autres éléments mais je ne sais pas combien vous rentré dans le dossier.

Sur demande je tiens à votre disposition des pièces supplémentaires sur tous les faits mentionnés.

En vous remerciant de votre attention à la présente, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.


Béatrice Schlegel

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dimanche 14 juin 2009

7) Echanges de courrier avec le Vétérinaire cantonal Dr Gregoire Seitert

Carouge, le 31 mai 2009

SCAV
Case postale 76
1211 Genève 4 Plainpalais

A l’att. du Dr Grégoire SEITERT


Monsieur Seitert,

Comme je vous l’avais annoncé dans mes courriers du 15 juillet et du 20 octobre 08 je reviens sur le sujet des irrégularités et des contrevérités du rapport que vous avez constitué pour le tribunal administratif.
Comme je vous l’avais déjà expliqué dans mes lettres du 10 et 16 juin 2008, dans chaque paragraphe de votre rapport il y a des affirmations exagérées, mensongères, voire diffamatoires.

En fait toute cette histoire a débuté sur la base du témoignage de Sylvie Menetrey, laquelle a produit une annonce contenant des propos simplistes, partiels, déformés et ne correspondant pas aux faits réels et donnant un avis péremptoire sur mon chien qu’elle ne connaissait pas.
http://www.elistyle.com/~bobbi/Sylvie_Menetrey.pdf

Une année après cette mascarade du jugement au tribunal administratif, je suis toujours sous le choc et en souffrance après avoir subi un tel acharnement de votre part avec la complicité de vos collaborateurs, j’ai d’ailleurs encore du mal à en parler.

Pour être brève, j’aimerai que vous m’expliquez comment dans votre rapport pour le TA on a pu faire état de telles exagérations et contrevérités.

J’aimerai que vous me répondez de manière sincère sur les cinq points que je soulève ci-dessous, que j’ai sélectionné parmi les nombreuses fausses affirmations et de ne pas vous retrancher derrière le TA qui vous a donné raison sur la base de ces affirmations non vérifiées. Pour ma part j’aimerai que vous ne considérez pas ce dossier comme clos.

1. Au point 7 de votre rapport : « Par correspondance adressée au service le 28 août 2007, M.Yves-Laurent SAGAN réfuta les assertions de la recourante, constatant la pleine responsabilité de cette dernière et précisant que Ie chien avait attendu qu'il descende de son vélo avant de le mordre à quelques centimètres de ses parties génitales. »
Il était fait référence à une pièce contenant une pure supposition, sans rapport aucun avec ce qui s’est réellement produit

M Sagan stipule d’ailleurs dans sa lettre au premier paragraphe, que ce n’est pas sa déclaration, et après, au point n° 3 de sa lettre : « que cela aurait pu arriver. »

En plus il y a quatre témoignages qui contredisent votre version (Pièces 2-5)
http://www.elistyle.com/~bobbi/temoignage_Magnin.pdf
http://www.elistyle.com/~bobbi/temoin_Buser.pdf
http://www.elistyle.com/~bobbi/incident_28_juin.pdf
http://www.elistyle.com/~bobbi/temoin_Monney.pdf

2. Au point 11 de votre rapport : vous avez affirmé que « l’incident avec l’enfant nécessitait une intervention médicale », alors que vous aviez seulement demandé un constat par l’intermédiaire de l’éducatrice Sylvie Menetray, et qu’il n’y a jamais eu nécessité d’un traitement médical.

Ce que confirme M Pozzi le père de l’enfant. (Pièce 6)
http://www.elistyle.com/~bobbi/Poz_m.pdf

3. Les exagérations dans vos affirmations atteignent un tel degré que le Tribunal a affirmé, que : « l’impossibilité de toute mesure éducative a été établie par différents spécialistes de la gente canine, notamment une comportementaliste commise par la recourante. »
http://www.elistyle.com/~bobbi/TA_mens.pdf

Aucune éducatrice ni même le Dr Muser n’a jamais fait de telles affirmations.
http://www.elistyle.com/~bobbi/Atout.pdf

C’est d’ailleurs sur ces affirmations erronées qu’a reposé la non restitution de mon chien Bobbi dans la décision du Tribunal administratif, qui n’a d’ailleurs pas pris en compte les contradictions entre les différents témoignages. Il a surtout ignoré le témoignage de la comportementaliste, qui avait réfuté les affirmations qu’on lui prête dans un courrier au Tribunal administratif.
http://www.elistyle.com/~bobbi/temoignage_Dr_Muser_Leyvraz.pdf


4. Votre collaborateur le gardien de la fourrière Bernard Pittet pour justifier son acte a cherché à soutirer un témoignage à M Matarazzo en le poursuivant à la Migros. Il a même également inventé un scénario mensongé et incité les policiers à produire un témoignage de complaisance.
http://www.elistyle.com/~bobbi/sequestre_Bobby.pdf

Jamais Bobbi ne s'est brusquement retourné (même pas retourné du tout) et il n’était pas dressé sur ses pattes antérieures.

M Matarazzo ne s’est jamais senti agressé comme il l’affirme clairement dans son témoignage écrit.
http://www.elistyle.com/~bobbi/Michel_Matarazzo.pdf


Des voisins, témoins de la scène ont pu observer l’arrivée des policiers à la hauteur du n°28 de l’avenue Vibert, ils n’ont entendu aucun aboiement ni perçu aucune difficulté quelconque et ils ont vu le chien monter dans la voiture sans aucun problème.
http://www.elistyle.com/~bobbi/annonce_police.pdf


5. Vous avez affirmé à l’audience au tribunal, que le SCAV m’avait ordonné des cours, ce qui était totalement faux, raison pour laquelle vous cherchiez en vain la pièce concernée.

En effet c’est de mon plein gré que j’avais entrepris des cours. Si cela avait été ordonné par le SCAV, j’aurais connu les règles du jeu, et j’aurais été plus exigeante par rapport aux cours collectives que j'ai suivi avec Mme Sevrine Bogard lesquels n’étaient pas adaptés à Bobbi, j'aurais également aveti le SCAV et non seulement le Dr vét Muser la comportementaliste.

Votre collaboratrice Mme Chollet c’est visiblement arrangée avec Mme Sevrine Bogard l’éducatrice. (Pièce 9)
http://www.elistyle.com/~bobbi/e-mail_Bogard-a-Chollet.pdf

Effectivement, l’e-mail du 30 oct.07 a été écrit après l’annonce au SCAV du deuxième incident.
http://www.elistyle.com/~bobbi/Sevrine_Bogard.pdf

Le troisième incident, je l’ai signalé à Mme Chollet devant Dr Muser le 7 nov. 07, contrairement a ce qui est mentionné dans votre lettre du 20 nov. 2007.


Sans plus de commentaire et dans l’attente de votre réponse, je vous prie de recevoir, Monsieur, mes salutations distinguées.

Béatrice Schlegel

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Réponse de Dr Grégoire SEITERT, voir le lien suivant

http://www.elistyle.com/~bobbi/reponse_seitert.pdf

La réponse est une illustration parfaite de ce qui s’est passé depuis le début et tout au long de l’histoire avec Bobbi.

Le docteur Grégoire SEITERT ne connaît toujours pas le dossier, car mon recours n’a pas été examiné ni vu ou tranché par les hautes autorités judiciaires suisses (le TF.)

Bien entendu, il a répondu à côté des questions!

Je lui demandais simplement de répondre aux nombreuses erreurs qui se sont produites dans son service et avec ses collaborateurs, dont il a la responsabilité. Je pensais quand même qu'il avait la compétence pour me répondre en tant que "simple autorité administrative"

Je ne lui demandais pas de se substituer au organe judiciaire ni juger les considérants !!

Si ce n'était pas de gaieté de coeur, alors pourquoi un tel acharnement, sachant qu'il y a eu notement trois vétérinaires dont une comportementaliste, qui n'approuvaient pas ces décisions.

Pourquoi n'ont-ils donc pas renoncé à l'euthanasie, connaissant l'avis de ces trois spécialistes ? Ils auraient parfaitement pu se reposer sur leurs compétences et également sur les témoignages des 15 personnes qui connaissaient bien le chien..

Non, ils ont préféré se situer du côté des mensonges et des faux témoignages...

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Carouge, le 19 octobre 2009

SCAV
Case postale 76
1211 Genève 4 Plainpalais

A l’att. du Dr Grégoire SEITERT



Monsieur,

J’ai bien reçu votre courrier du 5 juin 2009, mais vous n’avez hélas pas répondu à mes questions.
Je vous demandais simplement de bien vouloir me donner quelques explications au sujet des nombreuses erreurs qui se sont produites dans votre service, au sujet de mon dossier, dont sont responsables vos collaborateurs. Ces derniers ont encore récemment défrayé la chronique en invoquant des motifs fantaisistes pour mobiliser dix policiers, il s’agit, à travers divers exemples, du fonctionnement et de la crédibilité du SCAV.

Par ailleurs, vous avez été débouté le 13 juillet 2009 au sujet de votre requête déposée au Tribunal de première instance concernant la facture de la fourrière. http://www.elistyle.com/~bobbi/scav_debouter.pdf

J’ai bien reçu votre nouvelle décision du 27 juillet 2009 concernant cette facture. http://www.elistyle.com/~bobbi/scav_decision.pdf

Je trouve votre insistance déplacée car vous le savez, si le SCAV a finalement obtenu devant le TA la possibilité de pouvoir euthanasier mon chien, c’est grâce aux informations erronées que vous avez fournies et ainsi, grâce à une procédure entachée d’irrégularités.

Aujourd’hui je suis encore bouleversée et hantée au quotidien par le sort que vous avez réservé à mon chien Bobbi, victime des errements du SCAV.

En conséquence, je vous serais reconnaissante de bien vouloir reconsidérer la pertinence de cette facture.

Je vous prie de recevoir, Monsieur, mes salutations distinguées.

Béatrice Schlegel

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Réponse de Dr Grégoire SEITERT, voir le lien suivant

http://www.elistyle.com/~bobbi/reponse_seitert_22.10.09.pdf


sans commentaire !!

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8) Echanges de courrier avec le Conseiller d’Etat Pierre-François Unger

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Carouge, le 19 octobre 2009

Département de l’Economie et de la Santé
A l’att. du Dr Pierre-François UNGER
Case postale 3984
1211 Genève 3



Monsieur le Conseiller d’Etat,

Je me permets de porter à votre connaissance les faits suivants, auxquels j’en suis persuadée vous ne serez pas insensible en tant que Président du Dpt des affaires sociales et également du DPt des affaires vétérinaires

Concerne : Abus d’autorité du SCAV.

Suite à des agressions de chiens qui ont choqué l’opinion publique, les autorités cantonales ont pris une série de mesures afin de prévenir tout accident. A ce sujet, on ne peut que se féliciter de la sagesse de nos autorités dans la volonté de garantir la sécurité de nos concitoyens.

Cependant, entre appliquer des mesures sécuritaires et les excès de zèle de certains fonctionnaires, au point que de nombreux propriétaires de chiens s’interrogent sur les méthodes «expéditives » du SCAV, je pense qu’il y a un juste milieu que le Département devrait s’efforcer de faire respecter.

L’année dernière, suite à quelques incidents anodins de la part de mon chien, qui ne faisait pas partie des chiens considérés comme dangereux, le vétérinaire cantonal Grégoire Seiter a très rapidement mis mon chien sous séquestre est s’est montré d’une extrême rigueur, peu compréhensible, mais encore, il a fait preuve d’une totale négligence et de légèreté dans cette affaire. Ignorant sciemment des faits et des rapports contradictoires ainsi que de nombreux témoignages, il s’est contenté de maintenir sa position de « tout puissant » tout en décidant du sort de mon chien. De la part d’une autorité, cette manière de faire est inadmissible!

Il est peut-être utile de rappeler que les autorités n’ont d’autres buts que de servir les citoyens dans l’exercice de leurs fonctions. Ils doivent se montrer bienveillants et faire preuve de retenue et compréhension, respecter le principe de proportionnalité, ne pas faire preuve d’arbitraire mais plus encore, se montrer loyal, ce qui est loin d’être le cas dans cette affaire! Parmi les documents qui ont été versés au tribunal administratif par le SCAV, certains arguments invoqués sont inexacts, fallacieux et ne correspondent pas à la réalité.

Par ailleurs, force est de constater que le SCAV n’applique pas les lois et ordonnances qui sont de son ressort. Par exemple, suite à des morsures bénignes, il peut être ordonné au propriétaire de chien de suivre des cours de rééducation. Dans mon cas, le SCAV ne m’a même pas laissé le temps de cette possibilité, qui plus est M Seitert n’a pas tenu compte d’un rapport favorable de la comportementaliste, faisant état des progrès de mon chien.

J’ajoute que, comme si ce n’était pas suffisant qu’ont ait réussi à euthanasier mon chien, on use des méthodes déloyales car maintenant on vient en plus me réclamer des milliers de francs pour les frais de fourrière.

Pour de nombreux propriétaires de chiens, le SCAV est devenu une véritable crainte pour ceux des chiens qui manifestent un peu plus qu’un aboiement de satisfaction. Nous sommes arrivés dans un climat de «paranoïa». Le ridicule est arrivé à son paroxysme, sans remise en question, je crains fort que cette attitude inappropriée ne tende à se généraliser ! A l’examen attentif de nombreux dossiers, vous pourrez aisément constater que le SCAV dépasse de loin son mandat.

Je me tiens bien entendu à votre entière disposition pour vous montrer divers documents qui, j'en suis sûre, ne vous laisseront pas indifférent. Il existe également d’autres affaires concernant des propriétaires de chiens qui, comme moi, attestent de l’abus d’autorité manifeste qu’exerce le SCAV et ses collaborateurs.

En vous remerciant de votre aimable attention, je vous prie de recevoir, Monsieur le Conseiller d’Etat, l’expression de ma parfaite considération.


Béatrice Schlegel


PS : Le retard de la présente démarche est dû à l’état dans lequel m’a plongé cet événement, me laissant dans un profond désarroi qui m’a demandé du temps et de l’énergie pour refaire surface.


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Réponse de Dr Pierre-François UNGER, voir le lien suivant

http://www.elistyle.com/~bobbi/reponse_P-F.Unger.pdf



J’ai constaté en date du fev.2010 que, depuis des années , tout recours concernant une décision du SCAV est systématiquement rejeté:

http://justice.geneve.ch/jurisprudence/TA/?S=DateDecision>09.07.2006 (et les mots) écrivez « animal »



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Carouge, le 27 avril 2010

Département de l’Economie et de la Santé
A l’att. du Dr. Pierre-François UNGER
Case postale 3984
1211 Genève 3



Monsieur le Conseiller d’Etat,

Je vous remercie pour votre courrier. Cependant, j’éprouve une certaine déception car vous réfutez l’entier des reproches que j’adresse aux fonctionnaires du SCAV, sans argument ni mise en confrontation.

Mes doléances sont argumentées et appuyées par les différentes pièces que je tiens à votre disposition et qui confirment que dans mon dossier, il y a eu une succession d’erreurs qui ont abouti à une décision injuste du Tribunal Administratif.
http://www.elistyle.com/~bobbi/TA_mens.pdf
Dr Muser Leyvraz réfute les déclarations du TA
http://www.elistyle.com/~bobbi/temoignage_Dr_Muser_Leyvraz.pdf

Par ailleurs, vous avez connaissance d’autres dossiers concernant des anomalies commises par ce service. Mon cas n’est pas un cas isolé.

Pour ne citer que :

Il y a eu dans la même période en 2007 une plainte d’un éducateur professionnel. Son avocat a déposé un dossier à votre intention pour dénoncer les problèmes survenus avec la comportementaliste, Mme Chantal Chollet.

Un autre collaborateur du SCAV, Bernard Pittet, invoquant des motifs fallacieux, est à l’origine d’une mobilisation en force de dix policiers dans l’affaire de François Pirret, alors que seul un problème de médaille concernant leur chien se posait.
http://www.tdg.ch/geneve/actu/10-policiers-sequestrer-caniche-2009-05-29

Dans mon affaire, Bernard Pittet a inventé un scénario mensonger et invoqué des motifs fantaisistes et exagérés pour justifier son acte. http://www.elistyle.com/~bobbi/sequestre_Bobby.pdf

De plus, il a cherché à soutire un témoignage à M Matarazzo. http://www.elistyle.com/~bobbi/Michel_Matarazzo.pdf
Il a sollicité des policiers comme renfort, ce qui était complètement injustifié. Il les a aussi incité à faire un témoignage de complaisance.

Fermer les yeux sur de tels actes, c’est cautionner ces méthodes scandaleuses.

Chantal Chollet s’est visiblement arrangée avec Séverine Bogard, l’éducatrice, est ce que dans le but de se protéger mutuellement de leurs manquements ? http://www.elistyle.com/~bobbi/e-mail_Bogard-a-Chollet.pdf
Effectivement, l’e-mail du 30 oct.07 a été écrit après l’annonce au SCAV du deuxième incident. http://www.elistyle.com/~bobbi/Sevrine_Bogard.pdf

Dans la lettre du Dr Grégoire Seitert, datée du 20 novembre 2007, je constate qu'il n'a probablement pas eu connaissance du dossier (sans doute dû à un problème de communication interne dans son service) ou alors qu'il s'agissait d'une "lettre-piège" pour me faire croire que c’était un deuxième avertissement. Je n'avais jamais eu de contacts avec ce service avant le 7 novembre 2007, date à laquelle les comportementalistes, Mme Chantal Chollet et le Dr. Muser Leyvraz, ont pu constater que je maîtrisais mon chien et qu’il avait une bonne éducation mais qu’il y avait un travail de désensibilisation à faire.
Le contenu de cette lettre ne correspond pas à ce qui avait été convenu avec les comportementalistes. C’était aberrent de demander un rapport alors qu’on venait de faire une expertise en leur présence dix jours auparavant. De plus, j'ai signalé l'incident du 3 novembre 2007 aux deux comportementalistes, contrairement à ce qui est mentionné.
http://www.elistyle.com/~bobbi/seitert_20nov07.pdf

Le droit en vigueur relatif aux chiens n’était pas appliqué dans mon dossier.
Articles 3 alinéa 1 lettre f chiffre 2 (LChiens, M 3 45) :

1. Lorsqu'un cas de morsure est signalé au service, celui-ci peut, selon la gravité, procéder à une évaluation.
2. Dans les cas bénins, le service peut obliger le détenteur à suivre des cours d'éducation canine.
3. En cas de besoin, le service peut faire appel à un vétérinaire comportementaliste.


Dans le cas de mon chien, les morsures étaient tout à fait bénignes.

1. On ne m’a pas accordé le temps de prendre des cours de rééducation.
2. De plus, Dr Grégoire Seitert n’a pas tenu compte de l'avis du vétérinaire comportementaliste Dr. Muser Leyvraz

Si on tient compte des circonstances des personnes concernées, ces dernières avaient une large part de responsabilité :

1. Dans le premier cas, la personne était déjà en infraction avec son vélo sur le domaine « espace liberté pour chien » interdit à toute circulation et de surcroît, il avait à deux reprises une mauvaise interaction vis-à-vis des passants et de mon chien.

2. Dans le deuxième cas, il s’agissait d’un incident de jeux.

3. Dans le troisième cas, la personne n’avait pas respecté ce qui avait été convenu avant de lâcher les chiens.
http://www.elistyle.com/~bobbi/incident_3_nov.pdf

L’acharnement du SCAV de la nouvelle poursuite du 13 avril 2010 relative aux taxes de la fourrière est à mon sens non seulement totalement déplacé, mais d’une arrogance extrême.

Le SCAV avait été débouté le 13 juillet 2009 au sujet de sa requête déposée au Tribunal de première instance concernant cette facture.
http://www.elistyle.com/~bobbi/scav_debouter.pdf
Je m’étonne dès lors de me retrouver devant la même situation qui m’avait conduite devant ledit Tribunal, la situation n’ayant pas changé depuis sa décision.
Au regard de ce qui précède et compte tenu de mes droits qui ont été bafoués, le SCAV aurait pu en rester là.

L’aboutissement de ces actes a pour conséquences des maltraitances envers les animaux, impliquent de la souffrance humaine et des dépenses financières importantes pour la personne qui en est victime, ainsi que pour les contribuables.

Etant aujourd’hui toujours dans un profond désarroi pour n’avoir pas été entendue comme il se doit, je vous serais reconnaissante, Monsieur le Conseiller d’Etat, de bien vouloir prendre mes observations en considération et également de me donner des réponses au sujet des contrevérités, qui ont été transmises au Tribunal administratif, dont finalement j’étais la victime.

Je m’en remets donc à votre autorité afin de clore définitivement ce cas douloureux, en annulant les poursuites à mon encontre.

Dans l’espoir que vous serez à même de prendre les mesures qui s’imposent dans cette affaire délicate, je vous en remercie par avance.


Je vous prie d’agréer, Monsieur le Conseiller d’Etat, mes plus respectueuses salutations.




Béatrice Schlegel


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Réponse de Dr Pierre-François UNGER, voir le lien suivant

http://www.elistyle.com/~bobbi/reponse_P-F.Unger_27.04.10.pdf


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samedi 2 mai 2009

9) Dix policiers pour séquestrer un caniche !

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Quelques liens à propos de cet événement:

http://www.tdg.ch/geneve/actu/10-policiers-sequestrer-caniche-2009-05-29

http://leblogdekad.blog.tdg.ch/archive/2009/05/30/mr-le-veterinaire-cantonal-rendez-luna-a-sa-proprietaire.html

http://www.tdg.ch/communaute/courrier-lecteurs/menottes-proprietaire-caniche-2009-06-05

Le gardien de la fourrière Bernard Pittet invoquant des motifs fallacieux et Jean-Luc Magnenat sont à l’origine d’une mobilisation en force de dix policiers qui, sans aucun mandat, ont procéder à une interpellation « musclée » d’une dame à son domicile pour des chiens de race petits bergers, qu’elle avait promené sans laisse il y avait une année auparavant. Le service vétérinaire lui réclamait les papiers des chiens, alors elle avait informé le SCAV que ses chiens étaient domiciliés en France voisine. Afin de vérifier cette affirmation Bernard Pittet est venu lui-même jusqu'à son domicile. Lors du contrôle, il a aperçu le caniche de sa fille qui avait moins d'une année et qui n'avait pas encore sa médaille et sa puce. Aussitôt il prit la décision de le séquestrer. La dame fut menottée "manu militari" et emmenée au poste de police et retenue pendant quelques heures. Bernard Pittet est finalement revenu peu avant sa libération pour apporter une décision de séquestre antidatée.

(Le SCAV affirme que 50% des propriétaires de chiens à Genève ne s’acquittent pas de la médaille !!)

Suite à cet événement, les policiers ont été incités à déposer des témoignages consternants.
En effet, 10 jours plus tard la propriétaire du chien a reçu une amende de 610 CHF pour excès de bruit !

Concernant la facture, le tribunal de Police a su faire la part des choses et a estimé que le bruit et l’attroupement des personnes ont été provoqués par une intervention en masse de policiers pour des faits mineurs.

A la suite de ces événements, il y a eu plusieurs plaintes qui ont été déposées et une enquête est en cours !

à suivre...

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10) Aramis euthanasié en décembre 2009 après 6 mois en fourrière !

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Madame,

Mon chien Aramis a été séquestré par le vétérinaire cantonal, les conditions
sont les mêmes que celles que vous avez subies, je souhaiterai entrer en
contact avec vous.

Merci par avance, cela m'aiderait à me motiver dans ma lutte pour sauver
Aramis de l'euthénasie.

Natacha Sar


http://www.tdg.ch/communaute/courrier-lecteurs/lettres-29-septembre-2009-09-28

Courriers des lecteurs | 29.09.2009 | 00:00

Pour «Aramis»…

Genève, 17 septembre. – Je m’appelle Aramis, je suis un magnifique afghan. Je suis détenu par le vétérinaire cantonal depuis le 10 juillet 2009, on m’a pris dans la rue des mains de mon maître car je n’avais pas de muselière. C’est vrai, j’ai pincé quelques fois, par jeu, je ne suis pas méchant mais très craintif. Je devais passer en jugement le 16 septembre, mais on a décalé l’audience, pour surcharge du calendrier, donc je reste en cage jusqu’au 16 octobre où l’audience a été prévue. Cela fera trois mois et demi que je serai enfermé: pour attendre soit de me rendre à mes maîtres, soit mon euthanasie. Sauvez-moi. Je n’ai que 4 ans. J’ai des compagnons qui attendent le même sort. Si vous ne me condamnez pas, je promets de toujours porter la muselière. A tous mes amis à 4 pattes et surtout à mes maîtres qui m’aiment et qui m’attendent.

Pour «Aramis», Antonia Sar



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Voici les éléments qui ont déclenché le séquestre d'Aramis :

Une mère avait souhaité avertir le SCAV qu'un chien avait pincé sa fille à la main, suite à une interaction entre deux chiens à laquelle sa fille était mêlée.

La mère a par la suite été sermonnée par le vétérinaire cantonal Grégoire Seitert au point qu'elle s'était elle-même sentie coupable. Il lui avait reproché de ne pas avoir envoyé sa fille voir le médecin mais les suites de l'incident ne nécessitaient pas de soins.(*)
Puis, elle avait également été surprise par la sentence pour le chien en question car il avait été séquestré, puis, euthanasié, tout en sachant que les pincements du chien avaient été sans conséquence.

La perversité de Bernhard Pittet, fonctionnaire du SCAV, se traduit par ses observations des promenades d'’Aramis lorsqu'il était non muselé les 5, 9 et 10 juillet, sans donner d'avertissement ou d'amande à la propriétaire. Le 10 juillet, il s'est simplement contenté de séquestrer le chien avec l'aide de deux policiers.

Nous pouvons donc aisément constater qu'il prend plus de plaisir à séquestrer et à euthanasier des chiens plutôt qu'à faire de la prévention envers les propriétaires de chiens.


(*) Le SCAV pousse systématiquement les témoins ou les victimes à la délation et à des déclarations exagérées. Il les oblige à faire un constat médical même s'il n'y a rien à soigner ce qui lui permet d'affirmer au tribunal qu'un incident a nécessité un traitement médical pour aggraver le dossier, comme il l'a fait pour le dossier de Bobbi.














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